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Jean Charles Moise et Fritz Jean enterrent l’accord de Montana

Alors que les acteurs de l’accord de Montana refusent de dialoguer pour parvenir à un consensus politique, deux interventions semblent porter le coup fatal à l’initiative du 30 aout. Intervenant au micro de Passion plus infos, l’ancien sénateur Jean Charles Moise a révélé que l’accord de Montana est une initiative de Jean Bertrand Aristide et de Bill Clinton. L’ancien parlementaire, avec cette affirmation, donne raison à ceux qui soupçonnent un ancien ministre d’Aristide, devenu réalisateur, proche de la société civile, de tirer les ficelles de la République dominicaine étant. Pour Moise Jean Charles l’accord de Montana est une alliance entre Jean Bertrand Aristide, Bill Clinton et son lieutenant Daniel Foote, des parlementaires du black caucus et une frange de la bourgeoisie haïtienne. « Ils utilisent cette couverture pour prendre le pouvoir en dehors de la souveraineté populaire », a dénoncé l’ancien candidat à la présidence. Suivant la logique de Jean Charles Moise, on se rend compte que l’accord de Montana scelle la réconciliation de la bourgeoisie « ti lolit », la société civile et les étudiants GNB avec Fanmi Lavalas. Ce, au détriment des intérêts du peuple haïtien.

 

Avant la déclaration de Jean Charles Moise, Fritz Alphonse Jean, élu  président par l’accord Montana, avait lui aussi fait une déclaration fracassante. Désireux, semble-t-il, de garder le fauteuil présidentiel à lui tout seul, l’ancien gouverneur de la BRH sous lavalas a rejeté le scénario d’un collège présidentiel envisagé et prévu par l’accord PEN-Montana. « Personnellement, je ne vois pas comment cela (le collège présidentiel, ndlr) pourrait fonctionner par rapport à l’histoire du pays. Les cartels municipaux de trois membres qui ont du mal à fonctionner en sont la preuve. Je ne vois pas comment trois membres ne parviennent à fonctionner alors que cinq le pourraient », a fait savoir Fritz Jean dans un article du Nouvelliste.

A en croire M. Jean qui a été élu président par le Conseil national de transition (CNT) mis en place par l’accord de Montana, l’idée d’installer un collège présidentiel à la tête du pays « n’est pas la meilleure des solutions ». Selon Fritz Alphonse Jean, la majorité des membres du Conseil national de transition ne sont pas d’accord avec l’idée du collège présidentiel adoptée dans le cadre du rapprochement entre le Protocole d’entente national (PEN) et l’accord de Montana.

 

Après les déclarations de Jean Charles Moise et de Fritz Alphonse Jean, on se demande où est l’avenir de l’accord de Montana. Où est l’avenir du collège présidentiel ? Est-ce que le pays va continuer dans son immobilisme politique parce que seulement quelques acteurs, quoiqu’en déficit de légitimité, refusent la voie du dialogue ? La société ne devrait-elle pas prendre acte de l’échec de Montana et de presser le premier ministre Ariel Henry d’agir au plus vite pour un retour à l’ordre démocratique ?

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