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Quel mauvais spectacle!

3 “représentants de la société civile” ont été au congrès américain jeudi 29 septembre. C’est un euphémisme de dire que l’on a assisté à la plus piètre audition sur Haïti. Les prises de paroles des intervenants haïtiens ont été caractérisées par des anecdotes, des commérages, des plaintes etc. Aucun document, ou études, ou une quelconque preuve n’ont été utilisés pour etayer leurs allégations.

Rosy Auguste du RNDDH a déclaré que le gouvernement est le principal artisan de la contrebande en facilitant le dédouanement des containers de marchandises sans taxes et sans contrôle. De manière normative, aucun gouvernement ne peut être l’artisan de contrebande. Cela n’existe pas. De plus, de manière factuelle, il est prouvé que le gouvernement actuel fait de la lutte contre la contrebande l’une de ses priorités. En témoignent les records obtenus par l’administration générale des douanes le mois précédent.

Les intervenants ont également soutenu devant le congrès américain que c’est le régime PHTK qui a permis l’éclosion des gangs en Haïti. Faux et archi-faux. Les gangs sont présents en Haïti depuis plusieurs décennies. Ils ont été instrumentalisés par les régimes militaires, Lavalas et PHTK, mais aussi et surtout par les bras économiques. C’est une constante.

Rosy Auguste a osé affirmer que le gouvernement n’entretient aucune communication avec la société civile. Dans son for intérieur, elle ne ment pas. D’après sa logique, elle et sa clique forment exclusivement la société civile en Haïti. Elle ignore les associations de paysans, de femmes, d’enseignants, etc. qui évoluent dans le pays et qui tentent d’influencer les décisions du gouvernement dans l’intérêt de leurs groupes respectifs. La pensée de madame Auguste est tristement réductrice. Elle n’est pas seule dans sa logique. En amont de l’audition, une autre “militante” a affirmé qu’elle et ses amies sont les voix les plus légitimes pour parler d’Haïti. Si c’est comme ça que l’on parle au nom d’Haïti, on ne va pas atteindre si vite le bout du tunnel.

Le public a été navré d’entendre Velina Charlier pleurnicher d’être mis à l’écart dans les invitations de dîner et de causerie à l’ambassade américaine. “L’ambassade américaine a une tendance de ne plus vous inviter si on n’est pas d’accord avec elle. On vous met à l’écart”, s’est-elle plaint. Mais madame Charlier come on!!! On invite qui l’on veut chez soi. Vous ne pouvez pas vous imposer à l’ambassade américaine. D’ailleurs vous n’avez pas grand chose à dire. Pourquoi pleurnicher pour une invitation ou des financements d’une ambassade que l’on dénonce au nom de son “nationalisme”? Les petits fours vous manquent tellement? La chose est tellement puérile. Madame Charlier devrait pouvoir avec son passeport canadien se faire inviter par l’ambassadeur canadien, ce serait une belle compensation.

Au congrès ce jeudi 29 septembre, comme lors des occasions précédentes, la commission des affaires étrangères a raté l’opportunité d’avoir une bien meilleure compréhension de la crise haïtienne. Il en sera toujours ainsi tant que l’on persiste à inviter ces mêmes personnes, qui ont des positions arrêtées, déconnectées et Intéressées sur Haïti.

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